
LA MÉMOIRE
LA MÉMOIRE
Si subjective… si sélective.
Se distancier de l’événement.
Que voyons-nous ? Que retenons-nous ?
Que commémore-t-on ?
Et qu’a-t-on le droit de commémorer ?
Abolition du temps.
L’Histoire est actuelle, éternellement.
Oser l’interroger. Et la critiquer.
Nouvelle image, donc nouveau point de vue.
Art et Histoire se mêlent.
Support de réflexion.
Et appropriation.
Un nouvel art de raconter l’Histoire.
Si subjective… si sélective.
Se distancier de l’événement.
Que voyons-nous ? Que retenons-nous ?
Que commémore-t-on ?
Et qu’a-t-on le droit de commémorer ?
Abolition du temps.
L’Histoire est actuelle, éternellement.
Oser l’interroger. Et la critiquer.
Nouvelle image, donc nouveau point de vue.
Art et Histoire se mêlent.
Support de réflexion.
Et appropriation.
Un nouvel art de raconter l’Histoire.




AUJOURD’HUI
La mémoire normande

An-hui, en bas normand, signifie aujourd’hui !
La collection An-hui compose une scénographie mêlant Art et Histoire. Elle permet la mise en perspective des événements.
C’est une collection de tableau et une ligne de souvenirs.
Par dessus tout, c’est une réappropriation.
Et un encouragement à oser sa vision personnelle de l’Histoire.
Pour qu’à la question : « Qui raconte l’Histoire ? »,
chacune et chacun puissent répondre : « Moi ! ».
Quand l’Histoire fait l’identité d’une ville
Cette ville normande est chargée d’Histoire.
En premier lieu, l’évêque d’Avranches, Aubert, fonde le Mont Saint-Michel au VIIIe siècle.
Pour cette raison, la ville conserve aujourd’hui les manuscrits du Mont Saint-Michel dans son musée du Scriptorial.
Puis, c’est devant sa cathédrale (aujourd’hui square) qu’en 1172, Henri II Plantagenêt, roi d’Angleterre, duc de Normandie, fait pénitence suite au meurtre de Thomas Becket.
Enfin, en 1944, la ville est bombardée durant ce qu’on a appelé La percée d’Avranches.
Le souvenir de ces journées et le traumatisme engendré sont constitutifs de l’esprit de ce lieu.
Un char d’assaut, installé sur une des places de la commune, en témoigne.
AVRANCHES
LE CONCEPT
Un souvenir = trois objets
Les trois pièces constituent un tout et sont indissociables.
1 tableau : de format carré, il représente la silhouette du monument.
1 miniature du monument : de même taille et couleur que la silhouette du tableau qu’elle complète.
1 cartel : fiche explicative sur l’histoire du monument et qui accompagne le tableau.
LA COLLECTION






POURQUOI ?
Parce que j’aime l’Histoire
J’aime surtout la réflexion sur l’Histoire, sans passéisme.
Pleine d’empathie pour les douleurs passées mais non tétanisée par le respect qu’inspirent les grands événements historiques.
J’aime surtout la réflexion sur l’Histoire, sans passéisme.
Pleine d’empathie pour les douleurs passées mais non tétanisée par le respect qu’inspirent les grands événements historiques.
Parce que j’aime l’Histoire
J’aime surtout la réflexion sur l’Histoire, sans passéisme.
Pleine d’empathie pour les douleurs passées mais non tétanisée par le respect qu’inspirent les grands événements historiques.
Parce que j’aime les gens
Et chaque date raconte un bouleversement de la vie des femmes, hommes et enfants qui ont vécu cette époque.
Des vies qui basculent en un instant et dont les monuments et les ruines sont les témoins ainsi que les preuves matérielles.
Là où plus rien n’existe, le souvenir se perd. Sans souvenir, l’Histoire peut mourir. Le souvenir peut s’éteindre.
Certes, il reste la parole. Mais la transmission s’arrête souvent à la mort du témoin. Ou bien la parole se transforme, tel un conte de fée, au fil du temps et s’éloigne de la réalité du vécu des humains.
Alors que la matière est la preuve tangible des événements, la trace, le signe.
Comme dans une enquête policière, nous n’avons pas toujours immédiatement tous les éléments pour comprendre une époque. Cependant, les connaissances progressent constamment.
Si la preuve est conservée, alors la compréhension de l’Histoire est possible. Un jour.
Et sous un nouveau jour. Un nouvel éclairage. Révélant d’autres couleurs…
Je veux partager mon amour de l’Histoire et en donner ma version. Je la dépoussière et lui donne mes couleurs.
C’est la présence de l’Histoire dans ma vie, dans notre vie à tous, que je matérialise dans des couleurs éclatantes.
Ainsi, le visuel flash fait un lien direct avec la modernité !
Je vis dans une ville chargée d’Histoire. Je m’en suis donc tout naturellement inspirée.
Parce que j’aime les gens
Et chaque date raconte un bouleversement de la vie des femmes, hommes et enfants qui ont vécu cette époque.
Des vies qui basculent en un instant et dont les monuments et les ruines sont les témoins ainsi que les preuves matérielles.
Là où plus rien n’existe, le souvenir se perd. Sans souvenir, l’Histoire peut mourir. Le souvenir peut s’éteindre.
Certes, il reste la parole. Mais la transmission s’arrête souvent à la mort du témoin. Ou bien la parole se transforme, tel un conte de fée, au fil du temps et s’éloigne de la réalité du vécu des humains.
Alors que la matière est la preuve tangible des événements, la trace, le signe.
Comme dans une enquête policière, nous n’avons pas toujours immédiatement tous les éléments pour comprendre une époque. Cependant, les connaissances progressent constamment.
Si la preuve est conservée, alors la compréhension de l’Histoire est possible. Un jour.
Et sous un nouveau jour. Un nouvel éclairage. Révélant d’autres couleurs…
Je veux partager mon amour de l’Histoire et en donner ma version. Je la dépoussière et lui donne mes couleurs.
C’est la présence de l’Histoire dans ma vie, dans notre vie à tous, que je matérialise dans des couleurs éclatantes.
Ainsi, le visuel flash fait un lien direct avec la modernité !
Je vis dans une ville chargée d’Histoire. Je m’en suis donc tout naturellement inspirée.
Et chaque date raconte un bouleversement de la vie des femmes, hommes et enfants qui ont vécu cette époque.
Des vies qui basculent en un instant et dont les monuments et les ruines sont les témoins ainsi que les preuves matérielles.
Là où plus rien n’existe, le souvenir se perd. Sans souvenir, l’Histoire peut mourir. Le souvenir peut s’éteindre.
Certes, il reste la parole. Mais la transmission s’arrête souvent à la mort du témoin. Ou bien la parole se transforme, tel un conte de fée, au fil du temps et s’éloigne de la réalité du vécu des humains.
Alors que la matière est la preuve tangible des événements, la trace, le signe.
Comme dans une enquête policière, nous n’avons pas toujours immédiatement tous les éléments pour comprendre une époque. Cependant, les connaissances progressent constamment.
Si la preuve est conservée, alors la compréhension de l’Histoire est possible. Un jour.
Et sous un nouveau jour. Un nouvel éclairage. Révélant d’autres couleurs…
Je veux partager mon amour de l’Histoire et en donner ma version. Je la dépoussière et lui donne mes couleurs.
C’est la présence de l’Histoire dans ma vie, dans notre vie à tous, que je matérialise dans des couleurs éclatantes.
Ainsi, le visuel flash fait un lien direct avec la modernité !
Je vis dans une ville chargée d’Histoire. Je m’en suis donc tout naturellement inspirée.